L’autorisation du syndic à agir en justice doit préciser les désordres visés.
Ayant relevé qu’il ressortait du procès-verbal de l’assemblée générale du 21 novembre 1995 que cette assemblée avait autorisé le syndic « à ester en justice dès le dépôt du rapport d’expertise pour demander l’exécution de celui-ci » la Cour d’appel a exactement retenu que cette décision ne précisant pas les désordres pour la réparation desquels l’habitation avait été donnée, ne répondait pas aux exigences de l’article 55 du décret du 17 mars 1967.